Voici le premier tome d’Anastasia Hopcus, Shadow Hills qui nous plonge dans une enquête surnaturelle.
Perséphone Archer part étudier au pensionnat de Shadow Hills où sa sœur récemment décédée devait se rendre. Elle veut donner un sens à cette mort. D’autant plus que ce sont des rêves étranges, faits toutes les nuits à 3h33, qui la conduisent dans cette ville et que sa sœur Athéna a noté ces mêmes cauchemars dans un journal. Très vite, entre visions étranges, secrets découverts et évènements suspects, elle se rend compte qu’elle n’est pas là par hasard. Perséphone est liée à cette ville plus qu’elle ne le pensait.
La passé mystérieux de la ville donne encore plus de poids à l’histoire. Une épidémie a ravagé la ville au 18e siècle. Or, une génération d’habitants a survécu et fut dotée de pouvoirs psychiques. Mais en contrepartie, leur vie est raccourcie, ce sont les Brevis Vitam. Zach, un étudiant mystérieux et fascinant est l’un d’entre eux. Il aidera Perséphone à découvrir la vérité sur une série d’évènements étranges, la mettant par conséquent en danger. Les secrets de Shadow Hills se révèlent au grand jour, et elle en sait trop.
Mais son destin ne s’arrête pas là. Les éléments mythologiques introduits par l’auteur renforcent encore plus la part de mystère. Le suspens devient haletant quand Perséphone se rapproche de plus en plus de la vérité. Manipulations de l’esprit, mutations génétiques, enquête et personnages ayant chacun un caractère et un rôle particulier, font de bons matériaux pour un second tome. D’autant plus, que la destinée de Perséphone reste encore sans réponse. Pourquoi elle ? Zach, celui qu’elle aime, est-il si parfait ? Que reste-il à découvrir d’encore plus étrange dans cette ville aux nombreux secrets?
Pocket Jeunesse