" Il y a des dons qui vous aident à vivre, d’autres qui vous font rêver ou vous font sortir de vous même. Vous les possédez, vous les maîtrisez, vous en tirez du plaisir. Mais que vous échoie le don
absolu, celui qui vous possède et qui vous gouverne, celui dont votre corps n’est plus que l’instrument aveugle, et vous n’échapperez plus à la grande dévoration. « La tuerie m’ennuie, quand il y a du jus. Ça crie et ça salit. Il y en a partout, quand le manger se débat… » L’ogresse unit dans une même chair tous les instincts primaires, ceux des commencements et ceux de la fin. « L’ogritude totale dans une sexualité non moins totale ! » Quand vous aurez lu ce livre, vous ne pourrez plus croire à l’innocence du corps. "