En explorant, en fin généalogiste, la descendance d’un fameux artiste peintre, tomberait-on sur la prénommée Margarita ? Officiant au micro du groupe de « space metal » Edge Of Paradise, la chanteuse (et pianiste) Margarita Monet n’est sans doute pas de la famille de Claude (1840-1926), mais cela ne l’empêche pas de faire forte impression : encore plus « hot » qu’un cocktail à base de tequila (et plus encore qu’une simple association tomate-mozarella), miss Margarita, associée à ses quatre acolytes et compatriotes californiens, est très fière de promouvoir Universe, le nouvel album du groupe. Cela dit, même si elle joue à fond la carte du glamour sexy, mademoiselle Monet est aussi du genre costaud et résistant, n’étant pas loin de se lancer dans un vrai marathon musical : fans européens, apprenez qu’Edge Of Paradise se produira pour ainsi dire tous les soirs, de la mi-novembre à la mi-décembre, sur les scènes du vieux continent (en première partie de la nouvelle tournée de Sonata Arctica). Françaises, Français, rendez-vous le 1er décembre à Lyon, le 2 à Paris, le 3 à Limoges et le 8 au bistrot-concert « chez Paulette », dans la petite localité de Pagney-derrière-Barine, Meurthe-et-Moselle, où les 600 autochtones, du plus jeune au plus vieux, du premier au dernier, écoutent de la bonne zik. Sortie de l’album Universe le 8 novembre.