Souvenez vous il avait créé la sensation avec son premier roman, les fragmentés : « Dans une société traumatisée par la Seconde Guerre civile, un ensemble de lois intitulé Charte de la Vie a été signé pour contenter les pro-vie et les pro-choix. Celle-ci stipule qu il est interdit d attenter à la vie d un enfant du moment de sa conception jusqu au jour de son treizième anniversaire. Passée cette date, tout parent peut décider de « résilier » son enfant en ayant recours à la fragmentation, processus qui permet de renoncer à son enfant rétroactivement. Une seule exigence : réutiliser 99 % des organes du fragmenté pour qu il continue à « vivre » à travers d autres.
Lorsque Connor, Lev et Risa apprennent qu ils vont être fragmentés, ils savent ce qu il leur reste à faire : fuir et tenter de survivre jusqu à leur majorité… »
Les fragmentés reviennent avec leur suite : les déconnectés
Ils reviennent avec un nouvelle couverture, une nouvelle inédite et surtout une suite : les déconnectés «
Dans Les Fragmentés, Neal Shusterman décrivait un monde où l’on pouvait « fragmenter » tout adolescent âgé de treize à dix-huit ans, en réutilisant tous ses organes pour le laisser vivre dans un « état divisé ». La plupart des fragmentés sont des adolescents difficiles, comme Connor, des orphelins, comme Risa, mais certains – Lev, par exemple – sont également volontaires, considérant la fragmentation comme un acte religieux. Les Déconnectés suit l’itinéraire de plusieurs adolescents hors-la-loi (appelés « déserteurs ») qui tentent d’échapper à la fragmentation. Et la tâche n’est pas facile depuis qu’une pénurie d’organes a vu apparaître un nouveau filon : le marché noir. Les déserteurs doivent non seulement échapper aux Frags, la brigade des mineurs, mais aussi déjouer les pièges des Bracs, chasseurs de fragmentés sans foi ni loi. Après avoir survécu à l’attaque d’un camp de collecte, Connor, Risa et Lev continuent de résister à la fragmentation. Depuis un cimetière d’avions de l’Arizona, Connor accueille les fragmentés en fuite, aidé de Risa, qui a perdu l’usage de ses jambes en refusant la colonne vertébrale d’un fragmenté. Mais combien de temps peuvent-ils tenir face aux Frags ? La société peut-elle encore tourner le dos à la fragmentation alors qu’on vient de créer le premier « formaté » à partir des organes de 99 fragmentés ? Notre vie vaut-elle davantage que la somme de toutes nos parties ? »